Soutien gorge d’allaitement

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Les soutien-gorges d’allaitement sont conçus pour simplifier la vie des mamans qui donnent le sein. Il en existe aujourd’hui de toutes les tailles et dans tous les styles, afin de concilier pragmatisme et esthétique. Le soutien-gorge d’allaitement est un accessoire indispensable pour davantage de simplicité et de confort.Un soutien-gorge d’allaitement possède des vertus de maintien optimales. Après l’accouchement, et avec la montée de lait, les jeunes mamans prennent en général une taille supplémentaire de tour de poitrine et de bonnet. Un soutien gorge efficace sera alors appréciable pour pallier à cette modification.


Une petite poche intérieure est destinée à recevoir un coussinet (lavable ou jetable), qui absorbent les épanchements de lait entre deux tétées. Les soutien-gorges d’allaitement s’agrafent dans le dos, comme les soutien-gorges traditionnels, mais ils comportent en plus des systèmes d’ouverture par devant, pour chaque bonnet.

D’un point de vue pratique, un soutien-gorge d’allaitement doit permettre une ouverture rapide, et si possible avec une seule main. La matière doit être très douce et hypoallergénique, afin de limiter les risques d’irritation. En général, les soutien-gorge d’allaitement sont confectionnés dans du coton. Essentiel pendant les mois suivant l’accouchement, le soutien-gorge d’allaitement sera plus apprécié encore s’il autorise la coquetterie… On trouve aujourd’hui des soutien-gorge d’allaitement coordonnés avec shorties et strings, agrémentés de dentelle et déclinés dans plusieurs coloris.
Les soutien-gorges d’allaitement sont destinés à être portés nuit et jour. Il faut donc prévoir une petite dizaine de soutien-gorges d’allaitement afin de pouvoir les laver régulièrement sans se retrouver à court. Un soutien-gorge d’allaitement coûte en moyenne vingt euros.

Allaitement et tire lait

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Allaitement et tire-lait peuvent-ils coexister, et dans quelles conditions ? Le tire-lait permet de recueillir, manuellement ou mécaniquement, le lait de mamans qui allaitent et qui, pour de multiples raisons, doivent confier leur enfant à une nourrice ou au papa pendant plusieurs heures. Traditionnellement, allaitement et tire-lait ont mauvaise réputation, tant auprès des mamans qui ont parfois subi des expériences négatives, qu’auprès des professionnels qui préconisent un allaitement exclusif au sein. Pourtant, allaitement et tire-lait peuvent représenter la solution idéale pour les mamans qui souhaitent continuer à nourrir leur bébé de leur lait tout en retrouvant un peu de liberté.


Mais pourquoi allaitement et tire-lait suscitent-ils autant de réticences ? Les sage-femmes et infirmières ont coutume de déconseiller l’utilisation d’un tire-lait car la tétée au biberon demande moins d’efforts au nourrisson, qui peut ensuite se montrer réticent pour revenir au sein. Toutefois, dans les faits, les bébés qui ont goûté au biberon reviennent volontiers au sein, dans la mesure où il s’agit pour eux, bien sûr de s’alimenter, mais aussi de partager un moment de câlin privilégié avec leur maman. Du côté des mamans, allaitement et tire-lait sont souvent redoutés, car certains systèmes pour tirer le lait sont encore fastidieux et peu performants.La combinaison de l’allaitement et du tire-lait présente pourtant d’énormes avantages. Certains papas apprécient ainsi de pouvoir donner le biberon à leur bébé tandis que la maman en profite pour récupérer quelques heures de sommeil. Le tire-lait permet également de prévoir des journées ou des soirées de liberté pour la maman, sans priver le bébé. Enfin, allaitement et tire-lait sont parfois essentiels pour assurer une alimentation suffisante en quantité à des bébés qui éprouvent des difficultés à téter.
Allaitement et tire-lait peuvent donc constituer une très bonne solution pour les mamans qui reprennent le travail, ou une autre activité, ou pour les bébés que la tétée fatigue trop vite.

Grossesse et allaitement

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Grossesse et allaitement suscitent de nombreuses questions. Est-il vrai que l’allaitement empêche toute nouvelle grossesse ? Une maman peut-elle donner le sein à son bébé alors qu’elle est de nouveau enceinte ? Voici quelques conseils pour mieux appréhender la grossesse et l’allaitement.

Grossesse et allaitement sont-ils antagonistes ? L’allaitement n’empêche pas l’ovulation : il ne doit donc pas être considéré comme un moyen de contraception fiable à 100%. L’expérience a toutefois démontré que les mamans qui allaitent leur enfant, en leur administrant au moins cinq tétées par jour, tombaient très rarement enceintes. Si un deuxième enfant est envisagé, la maman pourra donc se fier à l’usage. En revanche, pour celles qui ne souhaitent pas enchaîner immédiatement sur une deuxième grossesse, il sera plus sage de prévoir un moyen de contraception : certaines pilules sont compatibles avec l’allaitement, et la pose d’un stérilet peut également représenter une solution satisfaisante pour éviter une grossesse pendant l’allaitement.

Pour celles qui sont à nouveau enceintes, grossesse et allaitement sont tout à fait envisageables, mais des précautions supplémentaires doivent être prises. En effet, l’allaitement au cours d’une grossesse représente une fatigue supplémentaire. La maman doit donc se montrer vigilante pour rester en forme. L’alimentation devra ainsi être particulièrement surveillée, afin que les besoins du bébé en gestation, et ceux du bébé encore allaité soient couverts. Dans le cas contraire, les deux enfants ne manqueront jamais des éléments nécessaires à leur croissance, mais les réserves de la maman seront entamées…

Grossesse et allaitement feront donc idéalement l’objet d’une consultation auprès d’un gynécologue, qui établira un régime alimentaire adapté.
Grossesse et allaitement occasionnent également des modifications dans le corps de la maman. Les seins, notamment, deviennent plus sensibles pendant une grossesse. Pour que grossesse et allaitement se déroulent dans les meilleures conditions possibles, des soins rigoureux devront être appliqués quotidiennement, sous forme de crèmes, d’huiles ou de massages.

Sevrage allaitement

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Le sevrage de l’allaitement constitue un moment critique à la fois pour le bébé et pour la maman. Il doit être abordé avec calme et sérénité, afin que la transition vers une alimentation au biberon exclusivement se fasse en douceur.

Le sevrage de l’allaitement est un premier pas vers la séparation progressive de l’enfant et de sa mère. Il ne s’agit donc pas uniquement d’une modification de l’alimentation, mais également d’un enjeu psychologique essentiel. Dans les faits, les mamans repoussent autant que possible le moment du sevrage de l’allaitement, et ne l’entreprennent que lorsqu’elles y sont contraintes, une dizaine de jours avant la reprise de leur travail. Les échéances sont donc incompressibles, et tout contretemps génère du stress, qui est fortement ressenti par le bébé et complique encore le sevrage de l’allaitement.

Le sevrage de l’allaitement doit donc être abordé très progressivement, et suffisamment à l’avance pour s’adapter au rythme du bébé et de sa maman. Pour un sevrage sans précipitation, on compte 3 semaines à un mois. Le sevrage pourra en outre se faire plus en douceur encore avec l’utilisation d’un tire-lait, qui permettra au bébé de se faire au biberon tout en retrouvant le goût du lait maternel.

Le sevrage de l’allaitement se déroule en 4 temps, chacun s’étalant sur plusieurs jours. On commence généralement par remplacer la tétée la moins abondante (celle de fin d’après-midi la plupart du temps). Au bout de 3 à 5 jours, si le bébé a bien accepté le changement, on remplace une deuxième tétée. Il faut conserver celles du matin et du soir le plus longtemps possible, et tâcher d’alterner tétée au sein et biberon. Par exemple, pour cette deuxième étape, on donnera le sein au bébé pour les tétées de 8h, 15h et 21h, tandis qu’on proposera le biberon pour celles de 12h et 18h. La troisième étape ne conservera plus que les tétées du matin et du soir au sein. Toutes les autres (d’après l’exemple, celles de 12h, 15h et 18H) seront au biberon. Un sevrage partiel, compatible avec des horaires de travail, sera alors mis en place. Les mamans qui souhaitent parvenir à un sevrage définitif remplaceront les deux tétées du matin et du soir au cours de la quatrième étape. Le sevrage de l’allaitement sera ainsi effectif entre 12 et 20 jours.


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